Il nous faut fondre l’horreur à l’aurore
Les poèmes viennent tous d’un même lieu,
Une déchirure
Dans le ciel, la poitrine, le creux des mains
Dans le retour du tragique humain
Dans des mots nus,
Venant par-delà les crêtes
Apparait ce que le monde ne put nommer,
Ce que le monde ne voulut nommer
Exposés, mus par une entière folie
Il nous faut oser l’indicible
Il nous faut fondre l’horreur à l’aurore
Dans quatre actes simples
Avouer, transcrire, rejoindre, aimer
HDN Mars 22
to Scarlett
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