Le champs d'oliviers
Suivant un sentier de terre battue
Bordé de quelques dures pierres
Une nuit je me suis perdu
Le cœur roncé d’un amour à jamais vécu
Sur le vert des oliviers
Une pleine lune
Le chant des siècles
Des vies antérieures
L’ombre d’hommes et de femmes
En patience des fruits mûris
Je me suis endormi
Sous un de ces arbres centenaires
Au matin de ciel vert
Branches silencées de soleil
Je ne suis jamais reparti
A mon âme murmurait l’arbre de la paix
HDN Mai 2017
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