Emmène le
Emmène toujours
où que tu sois,
dans cette Ville monde
qui nulle part ne diffère
Dans une tour de verre
ou vingt mètres sous terre
Les mains accrochées sur des fils de fer
ou sous des aéroports les lampadaires
au cœur des favelas où les jours crièrent
dans ce désert où l'on t’entraîne à faire taire
Emmène le, emmène toi
Prends toujours avec toi l'enfant...
Il te dira
Ta renaissance
Ton évasion
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