L'appartenance
Le ciel
Bien sûr l’immense
Au dessus du seul
Le fleuve
Lent sauvage
Qui comme vie passe
La forêt
L’appartenance à ce qui nait meurt
Et recommence
Et plus rien d’autre
Que résonnance
Dans le silence tracé des flots
Où se mêle le crié des oiseaux
L’infime soi dans le monde
L’infini des mondes en soi
HDN, Haut pays Wayanas, Mars 2019
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