Monde après monde
Au fur et à mesure
Que tu t’éloignais
Je ne faisais que te rencontrer
Ville après ville
Monde après monde
Au fur et à mesure
Que je croisais les grands arbres
Les oiseaux dont je savais l’existence
Dès ma première enfance
Je te comprenais
Quand en toute fin
Dépassant ma propre frontière
Toi au loin t’en allant
Je fus définitivement libre
Et à jamais en toi
Oh mon amour
Il y a bien en nous des millions d’étoiles
Et toutes se parlent
Par-delà les millénaires
Et les espaces interstellaires
HDN Octobre 2019
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